Bon voilà, je n'aurais pas dû, mais une envie folle d'aller à la brocante de Temploux m'a pris.
Évidemment, énormément de bouquinistes sont présents et je ne peux bien sûr passer outre. Voici donc mes achats du jour.
Alors, afin d'agrandir ma collection (qui n'a déjà pas à palir de la quantité), je me suis offerte quelques Agatha Christie:
Et juste pour me faire plaisir, me rappeler mon enfance et surtout, compléter aussi ma collection, j'ai pu trouver des Enid Blyton:
samedi 22 août 2015
mercredi 5 août 2015
Dans ma boîte aux lettres (8)
Ah ah, une fois n'est pas coutume, je suis allée dans ma libraire préférée, et voici ce que j'ai ramené:

À Londres, en mars 1895, des événements plus étranges les uns que les
autres se succèdent : le critique théâtral Jonathan McCarthy est
assassiné ; on intente un procès pour diffamation à la marquise de
Queensberry ; une jeune ingénue est découverte la gorge tranchée ;
enfin, un médecin de la police disparaît, emportant deux corps avec lui.
Plusieurs personnalités influentes du milieu dramatique sont alors impliquées : un critique et écrivain sans le sous nommé George Bernard Shaw ; Ellen Terry, une actrice admirée pour sa beauté et son talent ; un guichetier suspect du nom de Bram Stoker ; Henry Irving, une idole à femmes sur le déclin ; un éditeur sans scrupule qui se fait appeler Frank Harris ; ainsi qu’un homme d’esprit controversé du nom d’Oscar Wilde.
Tout ce beau monde se retrouve donc réunis sur la scène du crime, que Scotland Yard, dérouté, est sur le point de classer sans suite. Mais pour Sherlock Holmes, c’est élémentaire : un maniaque rôde. Et son nom est… Jack.
Plusieurs personnalités influentes du milieu dramatique sont alors impliquées : un critique et écrivain sans le sous nommé George Bernard Shaw ; Ellen Terry, une actrice admirée pour sa beauté et son talent ; un guichetier suspect du nom de Bram Stoker ; Henry Irving, une idole à femmes sur le déclin ; un éditeur sans scrupule qui se fait appeler Frank Harris ; ainsi qu’un homme d’esprit controversé du nom d’Oscar Wilde.
Tout ce beau monde se retrouve donc réunis sur la scène du crime, que Scotland Yard, dérouté, est sur le point de classer sans suite. Mais pour Sherlock Holmes, c’est élémentaire : un maniaque rôde. Et son nom est… Jack.
Nous sommes en 1864 et Lizzie Martin accepte un poste de dame de
compagnie à Londres auprès d'une riche veuve qui est aussi une
propriétaire de taudis. Lizzie est intriguée d'apprendre que la
précédente dame de compagnie a disparu, apparemment après s'être enfuie
avec un inconnu. Mais quand le corps de la jeune fille est retrouvée
dans les décombres de l'un des bidonvilles démolis récemment autour de
la nouvelle gare de St Pancras, Lizzie commence à se demander ce qui
s'est passé. Elle renoue avec un ami d'enfance, devenu l'inspecteur
Benjamin Ross, et commence à enquêter avec son aide, au péril de sa vie,
pour découvrir la vérité sur la mort de la jeune fille dont le sort
semble étroitement lié au sien.
Irlande, an de grâce 671. Une délégation anglo-saxonne arrive à Cashel
pour débattre des nouvelles règles religieuses de Rome avec une
délégation irlandaise. L'abbé d'Imleach conduit la délégation
irlandaise, très hostile aux nouvelles règles, tandis que dans la
délégation anglo-saxonne se trouve le frère cadet d'Eadulf, Egric. Le
Vénérable Favorinus, un observateur désigné par Rome, est également
présent. Mais le débat devient rapidement venimeux et l'abbesse Dar Oma
est nommée comme médiatrice entre les deux parties. Lorsque son corps
est découvert battu à mort, l'animosité est à son comble : le chef
Brehon Aillín accuse le jeune Egric et le Vénérable Favorinus affirme
que le meurtrier est frère Madagan, le délégué de l'abbé d'Imleach. Pour
endiguer l'effusion de colère et de sang, Fidelma doit faire le jour
sur cette affaire. Mais y aurait-il derrière ce meurtre quelque chose de
plus sinistre que des différents religieux ? Victimes et suspects se
mélangent pour construire un écheveau de mystère plus complexe et
sanglant que Fidelma et Eadulf n'en ont jamais rencontré
Nella
Oortman n’a que dix-huit ans ce jour d’automne 1686 où elle quitte son
petit village pour rejoindre à Amsterdam son mari, Johannes Brandt.
Homme d’âge mûr, il est l’un des marchands les plus en vue de la ville.
Il vit dans une opulente demeure au bord du canal, entouré de ses
serviteurs et de sa sœur, Marin, une femme restée célibataire qui
accueille Nella avec une extrême froideur. En guise de cadeau de
mariage, Johannes offre à son épouse une maison de poupée, représentant
leur propre intérieur, que la jeune fille entreprend d’animer grâce aux
talents d’un miniaturiste. Les fascinantes créations de l’artisan
permettent à Nella de lever peu à peu le voile sur les mystères de la
maison des Brandt, faisant tomber les masques de ceux qui l’habitent et
mettant au jour de dangereux secrets.
S’inspirant d'une maison de poupée d’époque exposée au Rijksmuseum d’Amsterdam, Jessie Burton livre ici un premier roman qui restitue avec précision l’ambiance de la ville à la fin du XVIIe siècle. Au sein de ce monde hostile, où le pouvoir des guildes le dispute à l'intransigeance religieuse et à la rigueur morale, la jeune Nella apparaît comme une figure féminine résolument contemporaine. Œuvre richement documentée et conte fantastique, Miniaturiste est un récit haletant et puissant sur la force du destin et la capacité de chacun à déterminer sa propre existence.
S’inspirant d'une maison de poupée d’époque exposée au Rijksmuseum d’Amsterdam, Jessie Burton livre ici un premier roman qui restitue avec précision l’ambiance de la ville à la fin du XVIIe siècle. Au sein de ce monde hostile, où le pouvoir des guildes le dispute à l'intransigeance religieuse et à la rigueur morale, la jeune Nella apparaît comme une figure féminine résolument contemporaine. Œuvre richement documentée et conte fantastique, Miniaturiste est un récit haletant et puissant sur la force du destin et la capacité de chacun à déterminer sa propre existence.
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